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STEINBOURG
1, 2 et 3 AOUT 2025
LA PRESSE EN PARLE
Retrouvez quelques interview et articles de presse sur le festival Pow Wow




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23ème édition du Festival Pow Wow, le retour de l'été amérindien
Cindy Mazerant, chargée de communication du Festival Pow Wow, était l'invitée de BFM Tv à l'aube de la 23ème édition.

Plus qu'une passion, un mode de vie, Daniel Kiener nous raconte
« Depuis que je suis venu au monde j’ai toujours aimé les Indiens. » Daniel Kiener, alias « Payata Kohana » (feu rapide) s’est installé depuis une semaine près de l’étang de Steinbourg, pour le festival annuel Pow Wow.
« Ce n’est pas une passion, c’est une vie. »
Et sa passion pour les Amérindiens se passe de mots : collier de perles, teint hâlé et multiples tatouages, c’est un véritable Indien qui se dresse devant nous. « Je ne joue pas à l’Indien, j’ai ça dans le cœur » affirme-t-il. France, Belgique, Allemagne, ce retraité des mines enchaîne les campements et partage pleinement sa passion avec sa compagne Vera.
Payata Kohana, alias « feu terrible »
Il est aujourd’hui à Steinbourg pour la 4e fois. « Ici tout le monde me connaît, j’ai le plus beau campement », affirme Daniel. Et, en effet, c’est un véritable voyage dans le temps qui s’opère : exit tablettes et écrans, ici « rien n’est pollué par le monde moderne ». Un feu de camp sépare les deux tipis du couple, richement décorés de bisons et de chevaux. Des tabourets en bois, recouverts de fourrures, côtoient des crânes d’animaux, et diverses peaux de bêtes. « Et ce n’est pas fini, je vais encore rajouter des boucliers d’ici ce week-end », explique-t-il. Daniel et Vera ont aussi confectionné 4 tenues amérindiennes. « On achète le tissu et les perles et on fabrique tout nous-mêmes. »
En communion avec la terre mère
Vera avec sa peau blanche et ses yeux bleus, représente la tribu des Sioux, des Indiens des plaines qui capturaient les femmes blanches mais les vénéraient comme des divinités. Daniel a adopté la coiffure caractéristique des Sénécas, l’une des cinq nations des indiens Hiroquois qui ont vécu au XVIIe siècle au nord de l’État de New York. Les tempes de son crâne sont rasées, et le reste de ses cheveux longs sont attachés en arrière, à l’aide de perles et de plumes.
Si Daniel a choisi de les représenter, c’est qu’il partage avec ces Indiens des forêts une passion pour la terre et un grand respect pour les animaux. « Déjà petit, j’aimais marcher seul en forêt. Cet hiver je me suis habillé en Sénéca pour marcher dans la neige. J’ai croisé des promeneurs et ils n’en ont pas cru leurs yeux. » Il y a de quoi. Mais pour Daniel c’est un moyen de communier avec « la terre mère. » Cette communion il la retrouve aussi avec la danse et les chants indiens. « C’est arrivé tout seul à force d’observer. Quand je danse c’est très fort, je ne vois même plus les gens autour. Je me sens guerrier, je rentre complètement dans l’époque. »
Deux jours de danse et de chants amérindiens
Ce talent, admiré de tous ses proches, Daniel le fera partager aux visiteurs samedi et dimanche après-midi, dans des démonstrations de danses et de chants amérindiens. « Les gens veulent tous prendre des photos, je mets parfois une heure pour traverser le camp ! Pendant le festival c’est vraiment la folie », s’exclame Daniel. Mais en attendant son heure de gloire, son tipi accueille chaque soir sa famille de cœur, le clan des corbeaux pour de grande parties de rigolades au coin du feu.
De ce hobby, Daniel Killer tire une spiritualité et un rapport à la nature quasi-fusionnel. "La terre-mère, je la respecte à fond. Même dans mon tipi, je ne fais pas de trou pour faire de feu. Je ramène une coupelle pour ne pas la brûler. Quand je démonte mon tipi, je remercie la terre-mère de m'avoir accueilli, avec une plume".
« Ce n’est pas une passion, c’est une vie. »
Et sa passion pour les Amérindiens se passe de mots : collier de perles, teint hâlé et multiples tatouages, c’est un véritable Indien qui se dresse devant nous. « Je ne joue pas à l’Indien, j’ai ça dans le cœur » affirme-t-il. France, Belgique, Allemagne, ce retraité des mines enchaîne les campements et partage pleinement sa passion avec sa compagne Vera.
Payata Kohana, alias « feu terrible »
Il est aujourd’hui à Steinbourg pour la 4e fois. « Ici tout le monde me connaît, j’ai le plus beau campement », affirme Daniel. Et, en effet, c’est un véritable voyage dans le temps qui s’opère : exit tablettes et écrans, ici « rien n’est pollué par le monde moderne ». Un feu de camp sépare les deux tipis du couple, richement décorés de bisons et de chevaux. Des tabourets en bois, recouverts de fourrures, côtoient des crânes d’animaux, et diverses peaux de bêtes. « Et ce n’est pas fini, je vais encore rajouter des boucliers d’ici ce week-end », explique-t-il. Daniel et Vera ont aussi confectionné 4 tenues amérindiennes. « On achète le tissu et les perles et on fabrique tout nous-mêmes. »
En communion avec la terre mère
Vera avec sa peau blanche et ses yeux bleus, représente la tribu des Sioux, des Indiens des plaines qui capturaient les femmes blanches mais les vénéraient comme des divinités. Daniel a adopté la coiffure caractéristique des Sénécas, l’une des cinq nations des indiens Hiroquois qui ont vécu au XVIIe siècle au nord de l’État de New York. Les tempes de son crâne sont rasées, et le reste de ses cheveux longs sont attachés en arrière, à l’aide de perles et de plumes.
Si Daniel a choisi de les représenter, c’est qu’il partage avec ces Indiens des forêts une passion pour la terre et un grand respect pour les animaux. « Déjà petit, j’aimais marcher seul en forêt. Cet hiver je me suis habillé en Sénéca pour marcher dans la neige. J’ai croisé des promeneurs et ils n’en ont pas cru leurs yeux. » Il y a de quoi. Mais pour Daniel c’est un moyen de communier avec « la terre mère. » Cette communion il la retrouve aussi avec la danse et les chants indiens. « C’est arrivé tout seul à force d’observer. Quand je danse c’est très fort, je ne vois même plus les gens autour. Je me sens guerrier, je rentre complètement dans l’époque. »
Deux jours de danse et de chants amérindiens
Ce talent, admiré de tous ses proches, Daniel le fera partager aux visiteurs samedi et dimanche après-midi, dans des démonstrations de danses et de chants amérindiens. « Les gens veulent tous prendre des photos, je mets parfois une heure pour traverser le camp ! Pendant le festival c’est vraiment la folie », s’exclame Daniel. Mais en attendant son heure de gloire, son tipi accueille chaque soir sa famille de cœur, le clan des corbeaux pour de grande parties de rigolades au coin du feu.
De ce hobby, Daniel Killer tire une spiritualité et un rapport à la nature quasi-fusionnel. "La terre-mère, je la respecte à fond. Même dans mon tipi, je ne fais pas de trou pour faire de feu. Je ramène une coupelle pour ne pas la brûler. Quand je démonte mon tipi, je remercie la terre-mère de m'avoir accueilli, avec une plume".

Retour sur la venue de Mario Luraschi lors de la 20ème édition du festival
Illustre conseiller équestre, cascadeur, dresseur de chevaux et passionné d’indianisme, Mario Luraschi honore de sa présence les organisateurs du festival Pow Wow lors de la 20ème édition.
Avant le show équestre qu’il donnera l'après midi, l’homme de 69 ans se livre sur le festival, les Indiens, sa vie auprès d’eux et les spectacles.
Les DNA : Vous venez au Pow Wow pour la première fois. Pourquoi avoir accepté l’invitation ?
Mario Luraschi : « Oui c’est la première fois que je viens. J’avais déjà vu cet événement en passant sur l’autoroute, mais je n’étais encore jamais venu. Mais le charmant garçon qui est un des organisateurs, M. Sins, travaille pour moi.
Ça fait au mois trois ans qu’il insiste et je me suis dit pourquoi pas revenir à mes premières amours des Indiens, parce que maintenant je suis plus devenu un collectionneur qu’un pratiquant de l’indianisme, avec le temps. Et puis ça me fait tout simplement plaisir. J’ai ramené un cheval pour faire un petit numéro et ne pas être à pied car je ne suis pas un piéton. J’ai toujours eu le côté cavalier de la chose. »
« Un show très dynamique, un peu sur la base western »
En parlant de ce numéro, vous allez présenter un de vos spectacles. Pouvez-vous nous en dire plus ?
Il y a deux représentations (dont une cet après-midi, ndlr). Il y aura pas mal de mes garçons, ceux qui travaillent avec moi. Je pense que le niveau du spectacle est bon. Je ferai d’ailleurs la présentation de mes gars, après je pense que le public va prendre du bon temps. Ça sera un show très dynamique, un peu sur la base western parce qu’on est chez les Indiens !
Vous venez d’arriver dans ce Pow Wow, quelles sont vos premières impressions ?
Ce qui me fait extrêmement plaisir, c’est de voir les tipis plantés. C’est quelque chose d’extrêmement agréable, ça me rappelle un peu la belle époque où je m’occupais des tipis et des Indiens. Ça me rappelle aussi le haut du Montana, donc voilà.
D’où vous vient cette passion pour l’indianisme ?
Parfois vous vous levez un matin et quelque chose vous attire. Vous croisez une dame et vous tombez amoureux, c’est la même chose.
Vous avez déjà pu en rencontrer ?
J’ai vécu avec des Indiens en Amérique. J’y ai passé pas mal de temps. J’ai eu la chance de chasser avec eux. J’ai vécu un an et demi à Santa Fe en tournant Lucky Luke, avec Terence Hill. Voilà, donc j’ai fait le tour. J’avais fait beaucoup de voyages à l’époque, quand j’étais beaucoup plus jeune, avec la TWA, quand elle existait encore, avec des groupes pour expliquer l’histoire et les mœurs des Indiens. Après, j’ai eu la chance de faire le spectacle du Wild West Show de Disney, ce qui m’a fait faire un casting de plus de 800 Indiens dans les réserves. Donc voilà. Je pratique pas mal le côté indien de la chose (rires).
Que pensez-vous des hobbyistes qui viennent ici ?
Ce sont des vrais passionnés. Ce sont, ce qu’on appelle vulgairement, des Indianistes. Mais bien sûr ce sont des gens extrêmement passionnés qui ont vraiment une espèce de nostalgie de cette époque et de cette vie dans la nature, qui n’était pas toujours si idéale qu’on l’imagine, il ne faut pas croire. Parce que le chauffage central c’est quand même vachement bien. Enfin, vivre sous un tipi c’est assez génial, j’y ai vécu deux ans et demi donc je sais de quoi je parle. Enveloppé dans une peau de bison c’est assez sympa… Ça grattouille un peu au début mais après c’est assez sympa.
Vous avez accepté de venir ici alors que vous êtes très pris entre le cinéma et les spectacles. Que faites-vous en ce moment ?
Je viens de finir un film avec Dujardin dans lequel il y avait beaucoup de batailles et de choses comme ça. Et heu… Ensuite on est toujours sur la série Versailles et après on va faire Vidocq. Ça roule pas mal. Et en plus on a un autre film au Maroc avec des chevaux.
Avant le show équestre qu’il donnera l'après midi, l’homme de 69 ans se livre sur le festival, les Indiens, sa vie auprès d’eux et les spectacles.
Les DNA : Vous venez au Pow Wow pour la première fois. Pourquoi avoir accepté l’invitation ?
Mario Luraschi : « Oui c’est la première fois que je viens. J’avais déjà vu cet événement en passant sur l’autoroute, mais je n’étais encore jamais venu. Mais le charmant garçon qui est un des organisateurs, M. Sins, travaille pour moi.
Ça fait au mois trois ans qu’il insiste et je me suis dit pourquoi pas revenir à mes premières amours des Indiens, parce que maintenant je suis plus devenu un collectionneur qu’un pratiquant de l’indianisme, avec le temps. Et puis ça me fait tout simplement plaisir. J’ai ramené un cheval pour faire un petit numéro et ne pas être à pied car je ne suis pas un piéton. J’ai toujours eu le côté cavalier de la chose. »
« Un show très dynamique, un peu sur la base western »
En parlant de ce numéro, vous allez présenter un de vos spectacles. Pouvez-vous nous en dire plus ?
Il y a deux représentations (dont une cet après-midi, ndlr). Il y aura pas mal de mes garçons, ceux qui travaillent avec moi. Je pense que le niveau du spectacle est bon. Je ferai d’ailleurs la présentation de mes gars, après je pense que le public va prendre du bon temps. Ça sera un show très dynamique, un peu sur la base western parce qu’on est chez les Indiens !
Vous venez d’arriver dans ce Pow Wow, quelles sont vos premières impressions ?
Ce qui me fait extrêmement plaisir, c’est de voir les tipis plantés. C’est quelque chose d’extrêmement agréable, ça me rappelle un peu la belle époque où je m’occupais des tipis et des Indiens. Ça me rappelle aussi le haut du Montana, donc voilà.
D’où vous vient cette passion pour l’indianisme ?
Parfois vous vous levez un matin et quelque chose vous attire. Vous croisez une dame et vous tombez amoureux, c’est la même chose.
Vous avez déjà pu en rencontrer ?
J’ai vécu avec des Indiens en Amérique. J’y ai passé pas mal de temps. J’ai eu la chance de chasser avec eux. J’ai vécu un an et demi à Santa Fe en tournant Lucky Luke, avec Terence Hill. Voilà, donc j’ai fait le tour. J’avais fait beaucoup de voyages à l’époque, quand j’étais beaucoup plus jeune, avec la TWA, quand elle existait encore, avec des groupes pour expliquer l’histoire et les mœurs des Indiens. Après, j’ai eu la chance de faire le spectacle du Wild West Show de Disney, ce qui m’a fait faire un casting de plus de 800 Indiens dans les réserves. Donc voilà. Je pratique pas mal le côté indien de la chose (rires).
Que pensez-vous des hobbyistes qui viennent ici ?
Ce sont des vrais passionnés. Ce sont, ce qu’on appelle vulgairement, des Indianistes. Mais bien sûr ce sont des gens extrêmement passionnés qui ont vraiment une espèce de nostalgie de cette époque et de cette vie dans la nature, qui n’était pas toujours si idéale qu’on l’imagine, il ne faut pas croire. Parce que le chauffage central c’est quand même vachement bien. Enfin, vivre sous un tipi c’est assez génial, j’y ai vécu deux ans et demi donc je sais de quoi je parle. Enveloppé dans une peau de bison c’est assez sympa… Ça grattouille un peu au début mais après c’est assez sympa.
Vous avez accepté de venir ici alors que vous êtes très pris entre le cinéma et les spectacles. Que faites-vous en ce moment ?
Je viens de finir un film avec Dujardin dans lequel il y avait beaucoup de batailles et de choses comme ça. Et heu… Ensuite on est toujours sur la série Versailles et après on va faire Vidocq. Ça roule pas mal. Et en plus on a un autre film au Maroc avec des chevaux.

A l'approche de la 23ème édition du Festival Pow Wow
Guillaume Mossbach, membre de l'organisation, était l'invité spécial dans l'émission Stamm&Co sur France 3 Alsace.

RETOUR SUR 3 JOURS
DE FESTIVITÉS
Les abords du site du Pow Wow ont retrouvé une émulation du mois de Juillet qu’ils n’avaient plus connu depuis deux ans.
Après deux annulations en 2020 et en 2021 dans un contexte de pandémie, le Festival Pow Wow de Steinbourg signe son grand retour cette saison. Jamais, en vingt ans, la manifestation n’avait passé son tour deux années d’affilée.


LA GALERIE PHOTOS
Retrouvez une sélection de photos de la dernière édition
























